Le réseau de Femmes de demain est constitué entre autres d’ONG, d’institutions et de femmes admirables.
Découvrez ci-dessous les partenaires et acteurs de ce réseau :
ONG
- AIF Alliance internationale des femmes
- CLEF coordination française pour le lobby européen des femmes
- AFAL association francophone d’amitiés et de liaisons dont le président est Jacques GODFRAIN
- UATI Union internationale des associations et organismes techniques dont le président est Elie ABSI.
- UISF Union internationale des ingénieurs et des scientifiques utilisant la langue française
- Djelika YEO, Présidente de l’association Femmes entreprenantes et dynamiques ainsi que du FIED forum international des femmes entreprenantes et dynamiques – Cote d’ivoire
- Marina N’DJA, Présidente du Global garden organisation – Cote d’Ivoire
- Sidonie OUWE, Présidente du salon de la femme – Gabon
- Reine Clarisse DOUALA BELL, Présidente du Forum grandes rencontre d’échanges des femmes camerounaises et du monde – Cameroun
- Catherine SAMBA PANZA, Présidente de l’OPALEF Observatoire Panafricain du Leadership Féminin – Centre Afrique
- Marie – therese BOUA-NGUESSAN, Présidente de l’AFIP Africa femmes initiatives
Institutions
- UNESCO
- OIF
- OCDE
Les femmes solidaires avec l’Afrique
Dans une démarche de solidarité internationale, Femmes de Demain a décidé de s’impliquer dans le développement économique de l’Afrique depuis 15 ans : Le futur de l’Afrique passe par la Femme.
Pour nourrir ses enfants, elle travaille et s’organise. D’où l’importance des programmes d’action favorisant l’éducation des petites filles très sous-scolarisées en zone nomade, rurale et suburbaine; importance de la formation professionnelle des femmes qui gagnent majoritairement les revenus de la famille.
Les aider à créer une petite entreprise, à produire, à vendre, s’est avéré positif. L’investissement sur les femmes transforme l’économie de base en Afrique, qu’elle soit agricole, artisanale ou commerciale.
Le levier de transformation féminin de l’Afrique touche la micro-production et permet aux familles de survivre, puis de s’émanciper.
L’action sur le long terme passe par l’éducation et nécessite la formation d’instituteurs itinérants pouvant se déplacer de village en village et connaissant les mœurs locales, respectant les parents pour les sensibiliser aux bienfaits de l’éducation des petites filles. Dans la plupart des cas, elles aident leur mère et sont donc source de revenus directs , donc non scolarisées.
L’économie solidaire nécessite l’impulsion éducative, l’apprentissage de comportements actifs et orientés dans le but d’une prospérité humaine et matérielle. La productivité s’enracine dans la compétence et des objectifs bien cadrés que des personnes formées peuvent réaliser.
Notre monde essoufflé cherche des repères, l’humanité doit prendre conscience de l’obligation de réorienter les finalités de l’économie.
En Afrique, l’accès des femmes à la vie politique est en marche, la pandémie du sida et la pauvreté sont des urgences, le taux de mortalité maternelle est très élevé.
Les femmes doivent garder la préoccupation de combattre ces ravages. Ce n’est que par une grande détermination de l’intérieur de ces pays que l’aide des pays développés peut devenir efficace.
La révolution numérique offre des opportunités incomparables et l’objectif principal de Femmes de demain est de former , accompagner les femmes dans l’apprentissage digital et entrepreunarial, sans négliger les métiers traditionnels ou les transformations de ressources naturelles ou culturelles qui sont la force du continent Africain.
Femmes de Demain espère depuis sa création contribuer à l’émergence d’un nouveau modèle social durable basé sur l’altruisme et la solidarité.